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Ven 21 Oct - 14:54
avatar2

Je n'ai pas dit mon dernier maux.

nom O'Brien
prénom Er'ril
âge 18 ans
né(e) le 12/06/1998
nationalité Irlandais
groupe Servant
classe 3ère Année
avatar1caractère
Il faut toujours bâtir sur les ruines de ce que l'on était. Mais, comment Er'ril pourrait appartenir à quelqu'un ? Lui qui ne s'appartient même pas. Comment dompter quelqu'un qui a réussi, non pas à briser ses chaînes, mais à en faire fi ? Ce n'est pas un animal né en captivité que l'on aurait réhabilité à nature pour mieux le remettre en cage par la suite. Nous parlons d'une créature qui tire sa liberté de ce qu'elle a. Si on la dépossède, elle fuira vers ce qu'on ne peut pas lui retirer. Vouloir asservir un pareil esprit, c'est s'évertuer, non pas à l'impossible, mais à l’inatteignable.

Bien sûr, il vous servira, bien sûr, il vous complimentera. Il sera l'esclave modèle, le « servant » dont tout le monde rêve, mais il ne s'agira jamais de ce que vous voulez qu'il soit. En aucun cas, il ne sera véritablement là, en tant que lui-même, à faire ses propres choix. C'est en quelque sorte sa manière à lui de résister pacifiquement à un système qui le débecte. Ce sera uniquement le masque qu'on l'aura contraint à enfiler. Toutefois, tourné les talons, il sera un autre. Il ne vous appartiendra que lorsque ça l'arrange. Il ne sera à vous que lorsque c'est nécessaire. Comme toujours dans les jeux sadomasochistes, c'est le soumis qui tient les clefs.

Je suppose que vous aurez saisi l'amour de la liberté que porte Er'ril. Cet amour, il l'a trouvé dans les livres, dans les chansons, dans la musique. Manipuler les mots, manipuler les sens, jouer avec eux. Mélanger tout cela dans vos cervelles, c'est son exercice favori. Il a pour habitude de dire qu'il n'est pas quelqu'un de gentil, à la manière d'un pervers narcissique. Toutefois, on est là bien loin du compte. En réalité, il aspire à être une personne profondément mauvaise, pouvant faire souffrir aussi facilement que de respirer, sans ressentir aucune culpabilité.

Pour autant, aussitôt aura-t-il fait du mal à quelqu'un ou quelqu'un chose, aussitôt le regrettera-t-il, aussitôt s’infligera-t-il des sévices moraux, au bas mot équitable à ce qu'il aura fait subir. Il n'aime l'exercice de la langue que pour briller en joute verbale, bien qu'il puisse appuyer là où ça fait mal pendant le duel, il ne le fera pas dans l’optique de détruire, de heurter, mais bel et bien dans celle de vaincre quelqu'un sur le plan mental. Rien ne l'amuse plus au monde. Ce n'est qu'un jeu.

Il se fera l'avocat du diable pour des causes en lesquelles il ne croit même pas tout simplement pour apprécier le nouvel angle sous lequel cela lui fait aborder le problème. Cela peut déranger, piquer au vif. Il peut s'en prendre à votre soudaine empathie pour la cause animale, comme à vos convictions profondes, personnelles et intimes, sans distinctions. Ce qui le tue, c'est de prendre toute conversation comme un jeu dans lequel le but et simplement de prouver, de se prouver qu'il est possiblement meilleur que les autres. Une tentative maladroite d'accaparer de l'attention et une demande à peine déguisée d'affection.

Une personne pleine de douceur et de simplicité. Voilà qui il est en réalité. Il est doté d'une grande empathie, si vous vous déchirer, là, devant lui, peu importe qu'il vous connaisse ou non, il saignera avec vous. Il versera les larmes qui roulent déjà sur vos joues. Il vibre aux sons des cœurs qui l'entourent. C'est en quelque sorte un beau fragile qui se donne des airs un peu plus rudes pour se protéger. Il a gardé la candeur de l'âme d'un enfant, il s'émerveille d'un rien. Pourtant, s'il a cette capacité seul, dans un milieu nouveau ou bien agréable, il ne sera pas le même lorsqu'il a déjà eut une mauvaise expérience d'un groupe, d'un lieu ou bien d'une personne, d'une situation.

Lorsqu'il est dans une position désagréable, il sera immédiatement sur la défensive, chaque phrase lancée vers lui sera violemment rejetée, par peur qu'il s'agisse d'une moquerie ou d'une tentative de manipulation. Il se recentrera sur lui, dans sa bulle, tout en épiant le monde qui extérieur, c'est la position qu'il préfère lorsqu'il est mal à l'aise. Autant adore-t-il être au centre de l'attention lorsqu'il se sent bien, autant, il tuerait celui qui le propulse au centre de cette même attention lorsqu'il n'est pas disposé. En outre, vous l'aurez compris, c'est qu'il veut faire ce dont il a envie, quand il en a envie.

En bref, c'est une sorte de diva de la vie quotidienne. Mais tout cela est loin de quelques caprices de starlettes en herbe, il s'agit de sensibilité. Celle-ci le guide, le conseille, mais le prive de belles rencontres parfois. En effet, en un regard, lui qui ne supporte pas ce genre de comportement, il vous aura jugé. Vous serez un numéro sur une fiche, quasi irrémédiablement, classé dans l'un ou l'autre de ses dossiers. Soit vous aurez fait une bonne première impression, soit au contraire, votre minois ne lui reviendra pas. C'est ainsi, il n'y a aucune objectivité là-dedans. « I feel it in my bones », c'est tout.
avatar1physique
Qui es-tu ? Qu'es-tu ? Un jeune adulte de 18 ans, tout juste. Pourtant, ton corps peut aussi bien avoir un siècle que dix hivers. Il est aussi crassé, érodé que toi. Il a souffert, il est un peu usé. Tu as une fragilité sur l'une de tes chevilles, tu te l'es foulé à de nombreuses reprises. Ce n'est pas la résultante d'une maladresse exacerbée, mais simplement celle de carences dans ta prime jeunesse. Tu es un tissu tendrement effilé, des brûlures cylindriques parsèment ton dos, la plupart se concentrent dans la région de tes omoplates.

Oui, la « famille » qui écrasait de temps à autre l'une de leurs cigarettes sur toi n'en tirait pas spécialement du plaisir. C'était leur façon de traiter un meuble. Tu aurais bien pu te retrouver les avant-bras scarifiés, à la place, tu t'es tatoué des glyphes sur les poignets. Dans le design de Glyph Behance, respectivement : Learn; Create; Protect; à droite. Explore; Challenge; Transcend; à gauche. Tu fais preuve d'une irrésistible ténacité. Ce doit être elle qui t'a permis de te former ainsi, chimérique. Tu n'es pas beau, tu n'es pas laid.

On peut dire ce que l'on veut de toi, mais, tu es tout sauf quelconque. À proprement parlé, tu fais bien plutôt partie de cette liste indénombrable de ceux que cette société aura fêlé. Tu as des bras forts, bien que cours. Tu as de longues jambes, trop peu charnues. Tu n'as que le pochoir de ce que l'on nomme des abdominaux et de très, très légers pectoraux. En revanche, pour ce qui est des courbes, des renfoncements et des creux que l'on trouve sur le corps humain, tu tendrais plus à défier la science.

L'arc sur tes hanches qui retombent vers l'aine. Les fossettes du sourire, la clavicule apparente, la jugulaire que l'on peut apercevoir drainer ton sang jusque derrière ta mâchoire, anguleuse. Au-dessus, nous croiserons tes lèvres, fines, discrètes. C'est que tu as une petite bouche. Un peu trop étroite à ton goût. C'est-à-dire qu'elle ne te permet pas d'en faire ce que tu en veux. S'en suit une face blême, peau d'albâtre que le soleil fait rougir plus que brunir. Le nez, comme au milieu de la figure ! Droit, plutôt fin.

Les traits que tu te portes, sont relativement harmonieux. Jusqu'à tes yeux. En eux-mêmes, ils sont très beaux tes yeux. Changeants, ils peuvent tout exprimer, comme l'ensemble de ta bouille par ailleurs. Cela peut sembler étonnant pour quelqu'un qui peut parfois être si impassible, si consensuel. Au lieu de ça, on dit de toi que tes yeux parlent pour toi. Ils peuvent se faire clairs, d'un bleu-gris subtil ou, soudainement, s'assombrir à l'approche d'un nuage dans ton ciel. C'est qu'il t'en faut peu dans ces moments-là.

Le plus souvent, ton visage est dégagé, tu as les cheveux en arrière, mais te prends aussi l'envie de temps à autre de les laisser, étalons sauvages, venir couvrir ton minois. Ils glissent jusqu'en dessous de tes yeux, certaines mèches iront même chatouiller tes pommettes en ces temps-là. On aura dépeint de toi un portrait relativement sportif à bien y prêter attention. C'est sans compter sur ta consommation abusive de tabac qui viennent trouer tes poumons, comme le tabac de tes parents le faisait autrefois pour toi. Ainsi, bien qu'apparemment en bonne condition physique, ce que tu tentes de maintenir, il est parfois dur de fournir de trop grands efforts sans se laisser emporter par d'importantes quintes de toux.
avatar1histoire
Pourquoi être si ridiculement contradictoire ? C'est l'histoire de ta vie. Tu es trop pour certains et pas assez pour d'autres. Au final, tu es perdu. Seul au cœur de la foule. Tu as gardé ta plussoyance et le QI de 123 qui va avec. C'est-à-dire au-dessus de la moyenne haute de 110, mais au-dessous de la sacrosainte limite de 130 qui ferais de toi un surdoué. Tu es donc l'élève brillant, qui, malgré cela est l'individu dissipé d'une classe. Le pitre, le boute-en-train accessoirement bouc-émissaire.

Tu es né dans une modeste famille qui n'a pas su évoluer autour de toi. Puisque tu ramenais de bonnes notes, il était inconcevable que tu aies un mauvais comportement en classe, après tout, a-t-on déjà vu un intello faire des vagues en cours ? Non mais quelle hérésie pour de simples gens. Ce n'est pas tellement que tu t'ennuyais, bien, qu'il est vrai, tu pouvais profondément t'ennuyer. C'est qu'il y avait tellement à faire en cours, tellement plus que d'étudier. Tu pouvais examiner les réactions, les agissements de tes camarades.

Tu voulais atterrir au centre de l'attention, être là, mis en lumière dans une tentative maladroite de quémander de l'amour, de l'attention. Que ce soit des figures d'autorités qui t'entouraient ou de tes pairs. Tu voulais être reconnu pour ce que tu étais. On t'a souvent dit petit que tu parlais bien pour ton âge, que tu réfléchissais bien pour ton âge, que ton débit de parole était trop soutenu, que le contenu de ton discours était intéressant mais que tu mâchais la moitié de tes mots. Il ne fallait pas aller si vite.

Mais quelle hérésie, pour toi cette fois. De ne pas aller vite lorsque dans ta tête, les idées flottent quelques secondes avant de disparaître, remplacé par d'autre, il faut ensuite faire l'effort de faire chemin inverse, de renoncer à une idée qui paraissait tout aussi brillante pour que tes phrases aient du sens. Tu as pourtant tellement besoin de parler, tu parles à voix haute, quelle violence qui t'aie faite que de te dire que tu parles tout seul. Oui, tu penses à voix haute, tu as toujours mieux pensé ainsi. Pourtant, ces petites différences en toi se marquent, de plus en plus.

Voilà que maintenant, tu vois clairement le fossé qui te sépare de tes ex-pairs. Tu n'es plus avec eux, tu ne le seras plus jamais. Te voilà, isolé, seul, dans ton coin, à enchaîner les bêtises pour recevoir l'attention qu'autrefois, on t'accordait sans broncher. Mais maintenant, tu commences à vieillir, ce qui était autrefois des développements fulgurants pour un petit garçon sont des enfantillages passés de mode pour un petit jeune homme tel que toi. Tu dois faire plus. Tu te plonges dans des livres, tu apprends, tu garnis ton bagage.

Mais la connaissance, ça ne suffit pas. Tu le réalises bien vite. Si tu n'as pas l'air de t'en sortir à l'oral, même si c'est toi qui as raison, tout ton courant de pensée est invalidé. Quel drôle d'exercice, tu te prends au jeu. Tu enchaînes les sophismes, tu y prends goût. Tu vaincs chacun adversaire qui se présente à toi sur le plan mental. Non pas par la logique pure. Mais par tous les moyens qui s'offrent à toi pour gagner. Quel incroyable jeu que celui des joutes verbales, tu es subjugué.

Le malheur est que si ce genre de panache te fait, un temps, recouvrer la lumière qui pleuvait sur toi jadis, elle s'éloigne encore plus vite, plus brutalement. Tu finis par blesser, là où tu as touché le cœur, on vient te corriger physiquement. Leurs arguments sur ce plan sont tous plus convainquant que les tiens. Tu commences à réellement te perdre. Rien n'est plus important que de sortir vainqueur d'un débat, mais si tu n'as pas le soutien de tes spectateurs, le profond soutient, tu seras une cible facile. Or tu perds ce soutien en joutant.

Une longue phase de réflexion s'organise en toi. Tandis que tes parents, toujours aussi perdus, continue d'écraser de temps à autre une cigarette dans ton dos lorsque selon eux, tu as dépassé les bornes, tu les prends pour des cons. Mais... Tu les aimes ! Les claques ne suffisent plus, ils sont passés aux cloques. Le collège aura été pour toi la pire des périodes de ta vie. Tu sors de cette épreuve, lessivé, épuisé. Tu auras revêtu certains masques pour pouvoir respirer, comme tout le monde. Cependant, tu décides de laisser tout tomber à l'entrée au lycée.

Suite à tes plus qu'excellents résultats et malgré certains légers problèmes comportementaux, tu quittes ta famille, ton pays. Tu penses, pour de bon. Tu rentres en septembre au lycée international de Paris, Honoré de Balzac. En effet, si dans la cours de récréation, tu subis certaines brimades, les professeurs y sont aveugles et ton comportement en classe s'était largement améliorer. Pourquoi en faire tout un plat alors ? Laissons-le aller à Paris, ça sonne si bien à l'oreille anglaise, ces abrutis. Te voilà, le petit irlandais, fier, partis pour pomper tout le miel de cette ruche bourdonnante qu'est Paris. « A nous deux maintenant ! »

Mais tu vas t'attaquer à la culture, à la myriade de livre qu'ils ont. Intéressé comme tu l'es, tu apprendras parfaitement le français en seulement deux années. Tu t'imprègnes, tu discutes en français entre les cours. Il n'y a rien de plus charmant qu'un « british » qui parle français avec son petit accent. On t'explique même que les demoiselles ici n'aiment rien, plus que cela. Regarde-la, ta jambe, qu'elle est belle. Car oui, c'est à Paris que t'es trouvé. Tu es gay, profondément, complètement et même assurément pédé comme un phoque. Avec ton meilleur ami de l'époque, tu décides, pour marquer cette différence, de te faire un tatouage. Tu perdras l'ami, mais tu gardes les tatouages. Aucun regret, pour les tatouages.

Tu fais tes premières expériences, apprécies tes petites amourettes. Quelle douceur pour toi l'adolescence. Tout le monde se sent aussi perdu que toi, tout le monde croit découvrir le monde pour la première fois, tout le monde, comme toi, ça n'était jamais arrivé. Ce que c'est beau, les groupes, les cliques qui se forment, ici et là. Tu finis malgré toi, sans être un leader, à avoir un avis qui compte. Tu savoures ce sentiment que la roue tourne. Tu prends la position de force. Celui qui, au fond, prends les décisions dans l'ombre pour les figures plus emblématiques. Tu finis par avoir en horreur d'être en lumière, tu as saisis que ce n'est pas pour toi, même si c'est ton rêve le plus cher. Tu as fait, par l'acceptation, ton deuil complet d'être aimer entièrement pour ce que tu es.

Un jour fatidique, tout s'emballe. Comme à ton habitude, tu vas, par plaisir, défier plus gros, plus fort que toi. Le type de poisson que tu abattras rapidement. Tu fais exprès d'aller trop loin, tu veux tester cette nouvelle popularité. Le débile se jette sur toi, soudainement, la meute se referme sur lui. Les coups pleuvent, ainsi que les insultes. Tu ris secrètement de son désespoir, tu as ce pouvoir maintenant. Quel sentiment grisant. Quel ascenseur émotionnel abrupt celui-ci va te faire prendre. Deux mois plus tard, le type s'est fait écraser par un train, les entrailles dispersées sur les rails. C'est ta faute et tu le sais. Tu ne sais plus comment respirer, tu ressens toute la pression qu'exerce sur toi ces tonnes d'air tout autour  de toi. Tu as l'impression de devoir soutenir une voûte céleste percée, d'où coulent d'immenses volumes d'eau avec pour jambes des morceaux de sucre.

Un pieds de nez à Sartre, tu en conclus que les autres sont ton paradis, tu ne t'épanouis qu'à leur contact. Toutefois, tu es ton propre enfer, sans compter que tu dois aussi être celui des autres. Tu es renvoyé discrètement de ton lycée. Où plutôt, on t'incite fortement de le quitter pour que l'on puisse étouffer les éventuelles preuves qui relie l' « incident » à toi. Tu laisses faire. Amorphe. Te voilà balancé, petit boursier affolé à la prestigieuse école de Liberium à Londres. Chez les abrutis. Tu avais déjà entamé ta troisième année de lycée, tu as donc eus quasi six mois de réflexion entre l'incident de Paris et ta rentrée au Liberium. Tu n'es fondamentalement plus le même. Comment vas-tu vivre dans ce nouvel établissement duquel rien ne t'as été expliqué ?
ayez moins de crainte pour l’étiquette de « fêlé » que pour le stigmate de la conformité.
avatar1autres
Je suis bizarre. Pas besoin d'en dire plus. :V J'ai découvert votre forum via Top-Site. J'aime les pâtes au beurre & la musique celtique. °-°
©linus pour Epicode
Er'ril O'Brien
Er'ril O'Brien
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Ven 21 Oct - 15:30
Bienvenue encore ♥

OMG j'adore aussi la musique celtique ** Courage pour ta fiche !
Invité
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Anonymous
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Lun 31 Oct - 15:37

F.I.N.I.

J'ai ENFIN fini.

Dîtes moi ce qu'il faut retoucher, ce sera fait immédiatement ♥
Er'ril O'Brien
Er'ril O'Brien
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Mer 2 Nov - 4:28
Merci d'avoir prévenu !

H.E.L.L Que c'est beau, que c'est bon. Que je sens que je vais en reprendre jusqu'à l'hyperphagie de ton style poignant et organique.

Pour moi, rien à redire, je valide après avoir consulté la Dream Team.

Attention quand même aux petites fautes. Il y en a vraiment peu, mais des récurrentes, comme par exemple "Quel/quelle" que tu écris systématiquement "Qu'elle". Mais c'est juste une remarque purement égoïste de ton fan n°1 pour améliorer son expérience de lecture ;p

Je suis quand même foutrement curieux de savoir ce qu'il s'est passé pendant les 6 mois entre Paris et Londres ? :)



Invité
Invité
Anonymous
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Mer 2 Nov - 5:51

Normal voyons !

Moh... Tellement de douceur ♥ À ta place je m'aurais assassiné xD Y avait au moins 6 fois la même faute rien que dans l'histoire ! Tu veux savoir le pire ? C'est que je l'avais remarqué à la rédaction donc j'avais corrigé en connaissance de cause et j'ai réussi à en laisser passé autant que ça ! xD

En tout cas, MERCI BEAUCOUP, il n'y a qu'une phrase pour exprimer ce que ton court message m'a fait : Tu m'as revitalisé. T'as bien bien fait ma journée en tout cas !

J'ai tenté de corriger le coup de qu'elle > quel/quelle du coup !

Ce qu'il a fait entre Paris et Londres... Qui sait ? :P
Er'ril O'Brien
Er'ril O'Brien
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Jeu 3 Nov - 1:58
Er'ril, tu es validé !

Bien joué pour la validation ! Maintenant que ça c'est fait, tu peux dès à présent :

◊ Recenser ton avatar
◊ Recenser ton DC si tu en es un
◊ Faire ta fiche de liens
◊ Faire une demande de chambre
◊ Faire une demande de RP
◊ Faire une demande de master ou servant

Et commencer plein de RP ! Le staff te souhaite un bon jeu ♥

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